COMMENTAIRES SUR LA RUE MEISSONIER au 17 / 12 /2007
Denyse nous indique que Mr Morand (droguerie-quincaillerie) avait acheté cette boutique pour sa fille Antoinette, dont le mari était artiste peintre, peut être est-ce La Bourbonnaise.
Salima Mouhoubi nous indique depuis Alger :
Mes voisins qui étaient au 7, le Dt Ruf au premier étage, Mme Deuillet,la sage femme du second, les Beloni, les Germada, notre concierge Mr Sauveur, un brave homme.
Salima nous indique au sujet du N°7: C’est un grand immeuble de 7 étages avec 28 appartements, avec un grand hall et 2 entrées A et B, notre appartement se situe côté droit au 3° avec au fond du hall un escalier, à l’époque un grand salon de coiffure avec un grand miroir au mur tenu par les Ribera.
Denyse l’amie de Chris nous indique pour la charcuterie Forner, c’est le neveu Forner qui avait repris la boutique de son oncle Alzina
Denyse
Mme Ayela (maman de Martial, musicien qui jouait du piano chez ses parents qui habitaient au-dessus du bar « le bourricot ») avait tenu une boutique épicerie-salaisons, reprise, je pense par Mr ou Mme Yvorra.
Denyse :
Quand à Albert, il y avait bien un passage intérieur qui traversait l’entrée de l’immeuble.
Roger Couard nous indique : Au 1er étage: les époux Toscano, concierges. Lui s’appelait Raphael. Leur voisine immédiate; Mlle Aroude renommée pour l’attention qu’elle portait aux chats du quartier. A côté de celle-ci: la famille Alos, boulangers; deux enfants Carmen et Jean ( je crois que les parents l’appelait Jean-Jean) leur voisine madame Meyer, elle tenait une pension de famille. Enfin, la famille Natoli; deux garçons Jean-Pierre, le fils et un neveu dont j’ai oublié le prénom (il est mort dans un accident de moto)
Suite du 18 Au 2° étage, je ne me souviens plus des occupants des 2 appartements que l’on rencontrait en arrivant sur le palier, voici les autres familles: Famille Baroghel, deux filles Arlette et Yvonne. Famile Domenech, deus fillles Jany et Renée.
3° étage: Bureaux des Etablissements Lang ( l’un des occupant s’appelait Garnier. Les époux Jacquot ( lui était fonctionnaire des Finances) une fille Christiane. Famille Elleberger deux enfants Jean et une fille Claude. Ils furent nos plus proches amis à Alger ( ou nos appartements étaient mitoyens ) puis en Métropole. Famille Couard, papa René maman Yvonne et moi Roger, mais il n’y avait pas de bonne, hélas! En 58, les bureaux Lang libérèrent l’appartement qu’ils occupaient, nous avons pris la suite jusqu’au début de l’été 62. C’est un jeune couple, les époux Moisy, qui nous succéda.
4° étage: juste au-dessus de nos têtes la Famille Froger, deux garçons Jean-Pierre et Guy. JP et moi étions ensemble à E-F Gautier, pas forcément dans les mêmes classes, puis à la fac de Lettres, en Histoire-Géo. Nous nous sommes perdus de vue lors du grand déménagement de 62.
Madame Vidal-Moisson et sa fille au 4° ou 5°
Au 5° le couple Vidal: René et Jeannette et leur fils Jean-Yves. René Vidal jouait au football au RUA comme ailier.
Au 6° la Famille Van Den Broek et leurs trois enfants Marc, X, et Martine. Je n’oublie pas la Famille Briot et leur fils Jean, copain de Jean Elleberger.
Enfin une mention spéciale pour la Famille de notre sympathique tailleur italien Michel Pesa (dont la fille s’appelait Lucie) et dont mon père était client.
Une précision concernant Michel Pesa, il était venu s’installer en Algérie avec sa famille avant la deuxième guerre mondiale pour fuir le régime fasciste. Après la guerre, il est retourné dans son pays avant ou peu après 54. Je revois encore la Famille Pesa faisant ses adieux à tout le 18 de cette rue.
Commentaires :
Denyse: Pour Georges, magasin au coin des rues Elie de Beaumont-Meissonier – tenu par le mari – et quelques boutiques plus loin, rue Meissonier, un autre magasin tenu par sa femme.
Il semble d’après Denyse, et Guy le confirme que ce hall d’immeuble soit chez Albert